Le Maréchal Foch (officier de l’armée française) est né à Tarbes, près de Lourdes. Dans son enfance, il a connu la petite Bernadette... il a joué avec elle dans le jardin de sa marraine. A 20 ans, il se consacre à Marie. 1914 : la Grande Guerre. Foch invoque chaque jour la Sainte Vierge et avant chaque bataille. Par-dessus tout, il croyait à l’efficacité de la prière.
Dans les dernières semaines de la guerre, il assiste tous les matins à la messe, puis va réciter son chapelet avant de se mettre au travail. « C’est de ma mère que je tiens ma croyance en Notre Dame. J’ai dit mon chapelet tous les jours de ma vie. - Même aux jours de grande bataille ? - J’en avais encore plus besoin ! Maintes fois je me suis vu pris. Alors je m’accrochais à Elle comme un enfant de deux ans s’accroche à sa mère. Je lui demandais l’inspiration. Elle nous a toujours sauvés. » Ses victoires, c’est toujours à l’Immaculée qu’il les attribue. La gloire, les honneurs qu’il reçoit comme vainqueur, il “renvoie” tout à sa bonne Mère du Ciel.
Texte paru dans Le carillon de l'Immaculée, Lourdes, 1991
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