Dans ma communion, j'ai bien demandé, ô Jésus, de bénir mon père, ma maman chérie (...) je recommande à Dieu et prie pour tous les prêtres que je connais (...) je nomme tous mes amis (...) les cœurs affligés, les agonisants, les âmes du purgatoire, pour les besoins de la sainte Eglise, pour le souverain pontife, pour la guérison morale de la France. Ô Jésus, vous vous donnez tout à moi, mais je suis toute à vous. (...) Ô Jésus, permettez que les sublimes vertus de Marie descendent et fructifient dans mon cœur. Et maintenant, o mon Dieu, laissez-moi vous louer avec la foi, l'amour, l'abandon et la flamme de vos divins attraits. »