Qu'il me soit permis - pour conclure - , à propos de la vie spirituelle des prêtres, d'attirer l'attention sur cet élément de vie, qui consiste dans le respect particulier qui est dû à la Bienheureuse Vierge Marie. Si je n'en avais pas parlé, je n'aurais pas apporté le témoignage de la vie spirituelle des prêtres dans ma patrie, particulièrement dans la vie du Serviteur de Dieu le P. [Saint] Maximilien Kolbe, (...). Cependant, le respect envers la Vierge Mère de Dieu dans la vie et le ministère sacerdotal apparaît évidemment comme une valeur universelle si l'on considère toutes les choses que le Concile Œcuménique Vatican II a dites dans la Constitution Dogmatique Lumen Gentium, où est mis en évidence le rôle propre à la Vierge-Mère dans l'œuvre du Christ et de l'Eglise. Quelle chose pourrait être davantage prise en compte par un prêtre s'il s'agit de travailler pour le Christ et pour l'Eglise ? Et quelle chose lui tiendra plus à cœur sinon que, engagé à développer cette œuvre, il en retirera des fruits abondants ?