Ta sainte communion, ma Mère ! N'était-elle pas comme un retour à cette unité insaisissable, lorsque tu Le nourrissais de ta chair et de ton sang ? Mais maintenant, c'est Lui qui te nourrit. Ne vois-tu pas en cette heure le corps mystique tout entier devant toi, celui qui doit croître par ce saint repas ? Ne le reçois-tu pas déjà maintenant en tant que Mère, comme demain au pied de la Croix il te sera remis ? Ne vois-tu pas aussi toutes les offenses qui seront faites au Seigneur dans ces espèces, et n'offres-tu pas satisfaction pour cela ? Ô Mère, apprends-nous à recevoir le Corps du Seigneur comme Tu l'as reçu.