Paul Verlaine alcoolique, débauché, homicide se tourne vers Marie, Refuge des pécheurs, du fond de sa prison : « Je ne veux plus penser qu'à ma Mère Marie parce que tous les autres amours sont de commandement et parce qu'elle est la source des pardons » ... Il lui offre de magnifiques poèmes : « Il me faut à tout prix un secours prompt et fort. « Ce fort secours, c'est vous, maîtresse de la mort, « Et reine de la vie, ô Vierge Immaculée, « Qui tendez vers Jésus la Face constellée, « Pour lui montrez le Sein de toutes les douleur « Et tendez vers nos pas, vers nos ris, vers nos pleurs, « Et vers nos vanités douloureuses les paumes Lumineuses, les Mains répandeuses de baumes. « Marie ayez pitié de moi qui ne vaux rien (...) « Fleurisse dans tout moi la fleur des divins Mais, « Votre amour Mère tendre et votre culte tendre. « Ah ! vous aimer, n'aimer Dieu que par vous, ne tendre « A lui qu'en vous sans plus aucun détour subtil, « Et mourir avec vous tout près. Ainsi soit-il ! »