Armenienne. Transfert du voile de Marie Cantique de la Vierge Marie (I) C'est celle dont la foy dure éternellement, C'est celle dont la foy n'eut jamais de pareille, C'est celle dont la foy pour notre sauvement
de la bienheureuse Vierge, comme un vif portrait et une image parfaite du Cœur adorable du Père éternel. Car, comme ce Cœur divin du Père de Jésus est la première source de l'Incarnation et de la naissance [...] son ventre l'espace de neuf mois seulement ; mais elle l'a toujours porté et elle le portera éternellement dans son Cœur; si bien que le Sauveur est plus en quelque manière le fruit de son Cœur, que le
comme l'arbre de vie, qui a donné son fruit au temps qui lui fut marqué : le Dieu incarné, vie éternelle de tous les êtres. Tu retiens toute pensée nourrissante et utile à l'âme : mais toute pensée superflue [...] rejettes avant de la goûter. Tes yeux sont toujours vers le Seigneur (Ps 25,15), regardant la lumière éternelle et inaccessible (1 Tm 6,16). Tes oreilles écoutent la divine parole et se délectent de la cithare
vierge. Une vierge nous a chassés du paradis ; grâce à une autre Vierge nous avons trouvé la Vie éternelle. De même qu’il est né du sein inviolé de la Vierge, de même il est ressuscité du tombeau fermé.
Par cette femme, l'incarnation de Dieu, la Croix, le pardon des péchés, l'espérance de la Vie éternelle pour vous, pour moi, tout devient plausible et désirable. Sans elle, le christianisme devient flou
lui-même, infini en sa substance et en ses attributs, en unité d'essence et en trinité de Personnes, éternellement égales, sans la moindre confusion. Je l'ai vu d'abord dans un grand désert vide de toute créature
lui-même, infini en sa substance et en ses attributs, en unité d'essence et en trinité de Personnes, éternellement égales, sans la moindre confusion. Je l'ai vu d'abord dans un grand désert vide de toute créature
qu'il est un maître Miséricordieux, bon, clément, paternel. Pourtant il est aussi, sur son trône éternel, Mon juge, et quand je songe à ma vie, il me semble Que je suis bien souillé, bien coupable, et je
C'est son état, c'est sa voie, c'est sa vie. Sa vie est une vie de silence qui adore la Parole éternelle. En voyant devant ses yeux, en son sein, en ses bras, Cette même Parole, la Parole substantielle
relation vivante à lui? Suprêmement dépouillée d'elle-même, elle ne pourrait plus que se donner éternellement en cet Enfant qu'elle avait conçu de l'Esprit non comme l'image glorifiée d'elle-même - mais comme