Einsiedeln O bienheureuse et béatifiante Trinité ! O bienheureuse et béatifiante Trinité ! Vous êtes l'éternel foyer de la Lumière et de l'Amour dont l'ardeur ne s'éteint jamais. Vous êtes le Feu consumant dont [...] ambition : celle de fixer sa vie au dessus de tout ce qui passe... plus haut que ce qui meurt : dans l'Eternel Amour. (...) Près de l'Immensité symbolisant l'Eternité, qu'il fait bon de déposer sa dépouille
Désireux d'être arrachés aux tourments, Et d'être en votre douce présence, Et de jouir des joies éternelles, O Marie !
faut dire aussi. Il faut dire que c'était un présent royal. Il faut dire que c'était un présent éternel.
grande valeur du silence dans lequel on entend Dieu. Apprends-moi à me taire pour écouter la Sagesse éternelle. Apprends-moi à tirer du silence tout ce qu'il renferme, de grand, de surnaturel, de divin. Aide-moi
sera englouti par le tourbillon frénétique des plaisirs ; mais il rejoindra le port de la quiétude éternelle sans incident.
comme l'arbre de vie, qui a donné son fruit au temps qui lui fut marqué : le Dieu incarné, vie éternelle de tous les êtres. Tu tiens toute pensée nourrissante et utile à l'âme : mais toute pensée superflue
C'est son état, c'est sa voie, c'est sa vie. Sa vie est une vie de silence qui adore la Parole éternelle. En voyant devant ses yeux, en son sein, en ses bras, Cette même Parole, la Parole substantielle
C'est son état, c'est sa voie, c'est sa vie. Sa vie est une vie de silence qui adore la Parole éternelle. En voyant devant ses yeux, en son sein, en ses bras, Cette même Parole, la Parole substantielle
Armenienne. Transfert du voile de Marie Cantique de la Vierge Marie (I) C’est celle dont la foy dure éternellement, C’est celle dont la foy n’eut jamais de pareille, C’est celle dont la foy pour notre sauvement
de Jésus, à marcher vers la mort amoureusement acceptée et, par la mort, vers la bienheureuse et éternelle vie.