tout ce qui pourra être utile à moi et aux autres, pour l'honneur de la Sainte Eglise, et celui du nom de votre Fils, pour la gloire de Dieu et pour mon salut. Amen.
par une abonnée de Hongrie. Ce n'est pas un conte, mais pure vérité. Par prudence, nous tairons le nom du lieu et celui des personnes. Durant la dernière guerre, le fils d'un médecin a été fait prisonnier
compris qu’elle veillait sur moi, que j’étais son enfant, aussi je ne pouvais plus lui donner que le nom de "Maman" car il me semblait encore plus tendre que celui de mère. Avec quelle ferveur ne l’ai-je
d’épines. » (1) Maria Razusova Martakova est une poétesse et écrivain slovaque (1905-1964) (2) Thymian : nom allemand du thym Encyclopédie Maria tome IV Beauchesne 1956 – p. 771
le, Mère et Vierge, à cause de qui est appelé Béni, dans les saints Evangiles, Celui qui vient au nom du Seigneur (…). Nous te saluons, toi qui as contenu dans ton sein virginal Celui que les Cieux ne
tout ce qui pourra être utile à moi et aux autres, pour l'honneur de la Sainte Eglise, et celui du nom de votre Fils, pour la gloire de Dieu et pour mon salut. Amen.
elle se développa en dévotion. Rien d'étonnant que leur langage dépassât toute mesure, une fois qu'un nom aussi grandiose que celui de « Mère de Dieu » eut été formellement établi comme sa sûre limite. Rien
dévotion est miraculeuse : "Dans la première partie du onzième siècle vivait à Quézac un agriculteur du nom de Jacques Deleuze. Un jour qu'il labourait son champ il n'est pas peu surpris de voir tout à coup
enfants. A force de prières, ces deux époux ayant obtenu de Dieu une petite fille, lui donnèrent le nom de Marthe. Cette enfant qu’ils aimaient passionnément faisait toute leur joie. Exquise de grâce, de
m’appelle Marie » « Je suis née en Judée, il y a plus de deux mille ans, dans un petit village. Mon nom aurait été enfoui dans l’oubli du temps si, une nuit, je n’avais eu la grâce de pouvoir accepter une