De grands témoins de l'Esprit tels que Marthe Robin, Maximilien Kolbe, le Père Marie-Eugène et bien sûr Louis-Marie Grignion de Montfort ont contribué dans la période moderne à mettre en valeur la place
sommes éloignés, en général, de la juste attitude envers elle, attitude que Luther nous a indiquée sur la base de l'Écriture... Nous voyons combien nous autres évangéliques nous nous sommes laissé submerger
«Second Adam», Temple de la Divinité, Pont qui relie la terre au Ciel, Echelle par laquelle Dieu descend sur la terre et l'homme remonte au Ciel, la Mère-de-Dieu qui est devenue plus vénérable que les Chérubins
des cris d'enfant. Étonnement et frayeur : il se trouve en face de la Vierge Marie, qui lui montre sur ses bras un enfant vagissant : "N'ayez pas peur, dit-elle, je suis la Mère de Dieu, et l'enfant que
depuis l'enfance. Le saint prêtre peut se réjouir: d'un théâtre d'obscénités, il a fait un sanctuaire; sur les lèvres accoutumées aux blasphèmes, il a ramené le nom de Marie.
brûle en Marie la flamme d'un amour bienveillant et agissant. C'est que Marie est notre Mère, non pas sur le plan naturel, mais de par le Christ. Elle connaît beaucoup mieux que nul autre, elle voit à merveille
yeux la lumière de cette étoile. Quand se déchaînent les rafales des tentations, quand tu vas droit sur les récifs de l'adversité, regarde l'étoile, appelle Marie ! Si l'orgueil, l'ambition, la jalousie
on ne parlait que de l'Eau-Vive. Mon père qui est Juif, mais en réalité athée, m'a dit hier soir sur le chemin du retour : "Si j'avais pu, j'aurais chanté avec elles."
vie semblable à celle du Fils de Dieu ressuscité, lequel, avant son Ascension, resta quarante jours sur la terre, seulement pour affermir ses apôtres et les instruire du royaume de Dieu, c'est-à-dire de
Miracles (1588) Marie et Abraham (I) Notre pèlerinage jubilaire a été un voyage dans l'esprit, commencé sur les traces d'Abraham "notre Père dans la foi" (Canon Romain; cf. Rm 11, 12). Ce voyage nous a conduits