histoire, et se soit vraiment uni à notre humanité pour lui communiquer sa vie divine. Le II° Concile de Nicée réuni pour trancher le débat conclu qu'il est tout à fait licite de peindre et vénérer les icônes
de Théophile Eikonomachos, un empereur iconoclaste, cette icône appartenait à une veuve pieuse de Nicée, qui la vénérait dans sa chapelle privée. Lorsque les gens de l'empereur vinrent chez elle chercher
Notre-Dame des Ibères remonte au moins au IXe siècle. Elle fut cachée par une pieuse veuve de la ville de Nicée, durant la persécution iconoclaste qui eut lieu sous le règne de l’empereur Théophile (829-842). L’un
Sainte Icône flottait debout sur les flots Au temps de l'hérésie iconoclaste, une pieuse veuve de Nicée jeta à la mer une merveilleuse Icône de la Mère de Dieu, afin qu'elle échappât à la destruction. Bien
dorée de l'Enfant indique que tout est lumineux en lui. Il est, selon la définition du concile de Nicée : « Dieu né de Dieu, lumière née de la lumière, vrai Dieu né du vrai Dieu. » L’icône de la Pure Porteuse
de grâce pour Dieu le Père, qui l'accepta pour devenir la Mère de son Fils bien-aimé. Théophane de Nicée. Discours sur la Mère de Dieu , § 30. In G. Gharib e E. Toniolo (ed) Testi mariani del secondo Millennio
la « Portaitissa » (Gardienne de la Porte) Au temps de l'hérésie iconoclaste, une pieuse veuve de Nicée jeta à la mer une merveilleuse Icône de la Mère de Dieu, afin qu'elle échappât à la destruction. Bien
la « Portaitissa » (Gardienne de la Porte) Au temps de l'hérésie iconoclaste, une pieuse veuve de Nicée jeta à la mer une merveilleuse Icône de la Mère de Dieu, afin qu'elle échappât à la destruction. Bien
paroisse d'Eze renouvelle son geste de piété en venant en pèlerinage à Notre Dame de Laghet. L'évêque de Nice, Mgr de Palletis, conformément à la décision du Concile de Trente, entreprend une enquête sérieuse