"Viens quand même", insiste la femme. "Si nous prions à deux, Dieu et la Madone nous exauceront plus sûrement." Le médecin cède enfin et accompagne son épouse ...
Et cependant, elle compatissait à ce point qu'elle eût volontiers, si cela avait été possible, pris sur elle tous les tourments que son Fils endurait. Vraiment donc, elle fut forte et tendre, douce et rigoureuse
du vent et du naufrage. Ayde-nous de tes voeux pour nous conduire au port, Et nous monstre ton Fils sur le bord du rivage.
sentir que c'était vraiment elle qui m'avait souri et qui m'avait guérie. J'ai compris qu'elle veillait sur moi, que j'étais son enfant, aussi je ne pouvais plus lui donner que le nom de "Maman" car il me semblait
cathédrale de Montréal. Depuis, elle n'a cessé d'exsuder cette huile mystérieuse. On la recueille sur du coton, que l'on divise et partage entre les fidèles. Il suffit d'un petit morceau de coton pour
sa chasteté. Elle avait donc, à cette heure-là aussi, en vierge très prudente qu'elle était, fermé sur elle sa demeure, - fermé aux hommes, non pas aux anges. Aussi l'ange put-il pénétrer chez elle, mais
à côté de tant de ces invitations de la grâce divine, douces comme la brise qu'Elie entend passer sur la montagne quand Dieu doit venir.
L'Esprit-Saint surviendra en toi, et la vertu du Très-Haut te couvrira de Son ombre » (Luc, I, 34-35). Sûre que c'est Dieu qui l'appelle, elle consent par ce mot qui a suscité la création dans une admirable
libellule des étangs, la forêt d'érable en automne, et même certaines luisances de la lune de novembre sur l'asphalte. Tu es un appliqué, un perfectionniste, inlassablement Tu retouches l'univers. Toi qui as
paroles (II) Dans une lettre du 26 décembre 1870, Mélanie Calvat, à qui la Vierge Marie est apparue sur la montagne de La Salette, explique de quelle façon les messages de la Sainte Vierge l’éclairaient [...] ceux qui étaient mis à mort, et le sang des martyrs ; mais l’amour de cette douce Vierge s’étendait sur moi, il prenait la place de tout le reste, il me faisait fondre ; je ne pensais plus, je n’avais pas